IMPRESSIONS by claude19
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Description
As with any festive reception, there are the campaign, people, neighbors, guests, friends who love to comment or exchange impressions among accomplices ... on unusual development, through the character, the confused thoughts ... performed, disclosed, issued by, the victim more or less identified.
As an example, take the beadle Pierre ...
In his village, his life is set to current beadle, sequenced by the precise planning of Father! Pierre has a habit of being guided by the various charges and its obligations ...
Prepare the accessories of the mass ...
... Ring the bells for weddings, communions,
Peal to all is a baptism ...
Ring heavily for a funeral ...
But this unfortunately stops at a certain time, even one o'clock some ...
So what does a beadle as Peter? Once all charges made for the day ... what will be done free of his time? How to spend the few hours of free time before bed?
Well, lonely, he went to the village café ...
You know, in many villages in France, opposite the church on the square, it is often easy to find a bakery, but also a café, a tavern, a boozer, a tavern, as the word of the region ... to feast ... to the throat due to dry up this thirst chants of the Mass, and later after a meal, the Lord be thanked for tasting cakes in the window so tempting ...
Peter has his table, his chair, his view of the street, all reserved daily in honor of his presence in the evening routine.
Thus, the regular succession of small glasses, pints, large glasses, cafes tight or not, white spirits, red, ivory, gold, with or without water, with or without foam, with or without sugar ... recites a few hours of relaxation of the character ... but also gradually raises the temperature inside the good man!
Confined in the common room of the bistro, Pierre has no other solutions to monetize its drinks in succession, as to exchange views more or less serious, that comment ...
On the last game lost, even on the history of this football club but ambitious country ...
On the moral behavior of the haberdasher, who in a bigoted behavior, hides the fiery temperament of a shameless Messalina, with a lover than twenty years her junior! appointments include ... TWENTY YEARS ... it could be his mother ... Oh My!
On the Baker also commented Pierre ...
Yes, but for her, the good man has only honeyed words, say Mr. unctuous priest ... against daily delivery of small packages of unsold cakes ... but also because it sells bread ... and that in all Christian families ... the bread is a sacred gift from God ...!
It does not displease him to Peter the beadle, to have fun with his accomplices, always the same, to praise, to speak, criticize forms of a particular person, comely, arid, dry, manic attending the font ... of the poor who does not know what to do for the happiness of his children ...
Not like this, who, under pretext of being rich and give to the Lord a lot of money to be redeemed from his sins, its intrigues, its social gatherings routinely ignore the little people ... to woo the city fathers the village, which of course you understand Mr. Priest is part ...
The patron of the tavern, rest assured you can not escape the scenario Vesper of the holy man ... His judgments are balanced against, because in both directions ...
Just imagine that one knows to be very agreeable to sell mixtures during the day, but some nights not hesitate to fire him, to eject the bar room, with a language, expressions worthy of vocabulary thought of as slang ...
- Ah, if Monsieur le Cure knew it!
Or
- Is not that a shame ... to s'mettre in such a state ...
Etc.. ... Etc.. ... Etc.. ...
Once out of coffee, Peter the beadle of the village, that his departure is voluntary or decided by the owner, has only one desire ... to lie on his cozy bed ... until the next morning five hours!
During the sleep of the just ... it remains to God to sort the wheat from the chaff of the list of critics, to absolve or punish according to his principles!
Comments (17)
claude19
Impressions Comme dans toute réception festive, il y a de par la campagne, des gens, des voisins, des convives, des amis qui adorent faire des commentaires, voire échanger des impressions entre complices…sur les gestes étonnants, les travers de caractère, les pensées confuses…exécutés, dévoilés, émises par le, la ou les victimes plus ou moins désignées. En exemple, prenez Pierre le bedeau… Dans son village, sa vie courante de bedeau est réglée, ordonnancée par le planning très précis de monsieur le curé ! Pierre a donc pour habitude de se laisser guider par les différentes charges qui lui incombent ainsi… Préparer les accessoires de la messe… Sonner les cloches…pour les mariages, les communions, Carillonner à tout va pour un baptême… Sonner lourdement pour un enterrement… Mais tout cela s’arrête malheureusement à une certaine heure, voire à une heure certaine… Que fait alors un bedeau comme Pierre ? Une fois toutes ses charges de la journée réalisées…que va-t-il faire, libre de son temps ? Comment passer les quelques heures de temps libre avant le coucher ? Eh bien, esseulé, il se rend au café du village… Vous savez, dans beaucoup de villages de France, face à l’église, sur la place, souvent il est aisé de trouver une boulangerie pâtisserie, mais aussi un café, un estaminet, un troquet, une gargote, suivant le vocable de la région…pour se régaler le gosier…pour tarir cette soif due aux chants de la messe, comme plus tard en fin de repas, sera remercié le seigneur pour la dégustation de gâteaux si tentants en vitrine… Pierre a donc Sa table, Sa chaise, Son panorama sur la rue, tout cela journellement réservés en l’honneur de sa présence systématique en fin de journée. C’est ainsi que, la succession régulière de petits verres, de demis, de grands verres, de cafés bien serrés ou non, des alcools blancs, rouge, ivoire, dorés, avec ou sans eau, avec ou sans mousse, avec ou sans sucre…égrène les quelques heures de détente du personnage…mais aussi graduellement fait monter la température interne du brave homme ! Confiné dans la salle commune du bistrot, Pierre n’a d’autres solutions, pour monnayer ses boissons successives, que d’échanger des avis plus ou moins sérieux, que d’émettre des commentaires… Sur le dernier match perdu, voire sur toute l’histoire de ce club de football campagnard mais ambitieux… Sur le comportement moral de la mercière, qui sous un comportement de bigote, cache le tempérament de feu d’une Messaline sans pudeur, avec un amant de vint ans plus jeune qu’elle ! rendez vous compte…VINGT ANS …elle pourrait être SA MERE…quelle horreur !!! Sur la boulangère aussi Pierre fait des commentaires… Oui mais pour elle, le brave homme n’a que des paroles mielleuses, onctueuses dirait monsieur le curé …contre remise journalière de petits paquets de gâteaux invendus…mais aussi parce qu’elle vend du pain…et que dans toutes les familles chrétiennes…le pain est sacré…un don de Dieu ! Il ne lui déplaît pas à Pierre le bedeau, de s’amuser avec ses complices, toujours les mêmes, de vanter, de parler, de critiquer les formes de telle ou telle personne, accorte, aride, sèche, maniaque qui fréquente le bénitier…de celle pauvre qui ne sait quoi faire pour le bonheur de ses enfants… Pas comme celle-là, qui, sous prétexte d’être riche, et de donner au Seigneur de grosses sommes pour être rachetée de ses pêchés, de ses intrigues, de ses soirées mondaines ignore systématiquement le petit peuple…pour ne courtiser que les édiles du village, dont bien entendu, vous comprenez fait partie monsieur le Curé… La patronne de l’estaminet, rassurez vous n’échappe pas au scénario vespéral du saint homme…Ses appréciations sont par contre balancées, parce que dans les deux sens… Figurez-vous que celle-là sait être fort aimable pour vendre ses mixtures durant la journée, mais n’hésite pas certains soirs, à le VIRER, à l’ejecter de la salle du bistrot, avec un langage, des expressions dignes du vocabulaire le plus argotique du cru… - Ah si monsieur le Curé savait ça !!! Ou - C’est-y pas une honte…de s’mettre dans des états pareils… Etc.…etc.…etc.… Une fois sorti du café, Pierre le bedeau du village, que son départ soit volontaire ou décidé par la patronne, n’a plus qu’une envie…s’allonger sur son lit douillet…jusqu’au lendemain matin cinq heures ! Pendant ce sommeil du juste…il reste au Bon Dieu à trier le bon grain de l’ivraie de cette liste de critiques, pour absoudre ou punir selon ses principes !
bimm3d
wonderful story!!
Jean_C
Un récit bien écrit pour un personnage superbement campé!
nitegrafix
Thats really deep!
Leije
Une ambiance très rétro de petit village, une vie routinière.... ton récit est très bien écrit, Claude!
adrie
This is a well-written story about a certain charaacter, excellent done Claude.
Glendaw
Excellent story,well done Claude.
Richardphotos
very interesting story and quite imaginative
legolie
Une histoire très amusante et pleine de bon sens narrée sur un ton léger qui n'est pas sans me rappeler les Fables de Lafontaine :-)
flavia49
wonderful story
jocko500
very good story here
A_Sunbeam
Great story, and I can still manage to understand the French version after all these years!
kftate
Really wonderful story! Superb work!
drifterlee
Excellent story!
Naneth36
Eh oui, ça, c'est la nature humaine dans toute sa slendeur : on est beaucoup plus doué pour critiquer les autres que pour faire notre autocritique. Bien observé!
mgtcs
Fabulous story my friend, amazing work!
three_grrr
wonderful vignette of life in a small village .. beautifully written