Le sabre et le goupillon by Lucien_Lilippe
Open full image in new tab Members remain the original copyright holder in all their materials here at Renderosity. Use of any of their material inconsistent with the terms and conditions set forth is prohibited and is considered an infringement of the copyrights of the respective holders unless specially stated otherwise.
Description
Comme on m'a délicatement censuré ma dernière image "Couler un bronze pour l'érection d'une statue", je rappelle les bons principes qui gouvernent le Monde. Et un grand merci à Lobo34 grand pourfendeur de "flamberge au vent" devant l'éternel. (Pour la bonne compréhension de ce qui précède, une flamberge est une épée, qui peut être brandie ici à qui mieux-mieux sans risquer la censure, encore que certains pourraient être tentés d'user métaphoriquement du terme)
Comments (5)
Cyve
Bon ben la censure a encore de beau jour au pays de la liberté d'expression ou le premier amendement, je cite, "interdit au Congrès des États-Unis d'adopter des lois limitant (notamment) la liberté ... d'expression..." mais il n'interdit pas pour autant à des censeurs en herbe de trancher dans le vif de l'art créatif !
pchef
la lame de ce sabre porte à la réflexion ! (sur la censure bien sûr). Bonne blenderisation (néologisme)
gaius
C'est clair (avec le sabre au...), la coupe est pleine...de sang, sûr...et certain ! De censuré à censuré (tiens, si on lançait un club ?) je te le dis, je vais verser le sang, sûr, en deux mots plutôt qu'en cent, sûr ! Vaillant troupier de la liberté d'érection je t'invite à poursuivre le combat (et pas le con bas !) jusqu'au lucre final...c'est le lucre final...groupons nous à deux mains...
3DClassics123456
Ce gaius me plaît!
Nonsolum
Telles sont les boules au bout du manche, gorgées selon la contrepèterie "d'O bé-nite" dont se délectent les raies nettes qui font office de grenouilles de dévotion. Que l'on s'ass-perge ! Tel est l'autre sabre que l'on sort au clair pour mieux nous le faire avaler avant qu'il ne renfile sa lame au fourreau pour s'en retourner au grenier... Que l'on s'ass-tique !