Nicely observed and posed; excellent use of the props too! I don't suppose the hapless carpenter can long resist her blandishments ...

Thank you very much

Ah, Madonna of the Broken Rake. Let's hope he is looking at the burst shaft and not the decollete - at least as long this sharp tool is in his hands.

Love the velvety texture of the dress and her expression.

I suspected that you were going to notice the slightly spicy humor of the situation

excellent

Thank you very much

J'aime l'aspect illustration ancienne de cette image, et, en dehors d'une possible rencontre entre un menuisier et cette jeune fille, ce qu'elle nous apprend de l'environnement des pes personnages: le menuisier en train de tailler des pieds de chaises dans des rondins, la jeune fille qui revient de la fenaison avec son râteau cassé... En un mot, j'adore!

Merci beaucoup Jean-Claude. Quand un personnage exerce une activité manuelle, j'essaie de faire en sorte que son geste soit le plus juste possible. Mon père était charpentier, j'ai déjà eu une plane, comme outil, en mains.

I see the charming carpenter has developed a fan club! How can he resist such a plea for help?! :-) Love the shadow-dappling from the trees!

Thank you very much, apart from his skills, the carpenter must have a certain charm. His reputation spreads by word of mouth.

WOW!!! Great work!!!

Thank you very much

Your latest renders are so very wall made my friend. The expression and the poses are amazing. Fantastic work.

thank you very much my friend

Cette image est sur le même thème qu'une chanson de Gaston Couté : la casseuse de sabot . Mais il me semble que j'ai déjà fait référence à cette chanson pour une image précédente ! Il faut que je fasse attention, je commence à radoter !

Ce n'est pas grave, merci de ton commentaire.

Wow' this has also become breathtakingly beautiful!

Thank you very much my dear Ute

Tu nous replonges encore, mais avec un peu d'humour après la première "requête", dans la seconde moitié du XIXème siècle au vu des habits de la demoiselle. Dans ma petite enfance puis mon adolescence, j'ai assisté à la disparition progressive de tous ces métiers dits "manuels"; du cheval comme outil de travail; des toutes petites exploitations familiales de 4 ou 5 hectares; des fermes avec leur cuisine/pièce de vie/chambre au sol en terre battue, à l'évier en pierre et leur grande cheminée où l'on pouvait s'asseoir; du vitrier, du rempailleur de chaises et du rémouleur qui passaient dans les rues des villes en annonçant bruyamment leur venue... Je me suis plongé il y a deux ou trois ans dans une encyclopédie Larousse illustrée du début des années 20. Outre un immense (et justifiable vu l'époque) vocabulaire spécifique à la première guerre mondiale, l'énormité du vocabulaire spécifique aux métiers artisanaux du bois, du cuir, de la pierre du métal, etc. est absolument incroyable. Evidemment, tout ce vocabulaire a quasi disparu.

Encore une fois, je partage tes sentiments. Ce rapport au vocabulaire descriptif est très important dans notre perception du monde ; il m'arrive même de penser qu'on ne voit pas une chose qu'on ne peut pas nommer... Je me souviens que lors d'une présentation de "Bonjour M. Courbet", les jeunes voyant le tableau appelaient "charette" ou "carrosse", ce qui était une diligence ! Par ailleurs, j'adore les écomusées, même si j'y mets moins souvent les pieds, parce qu'ils nous rappellent des gestes du quotidien et des modes de vie, qui remontent, à peine, à nos grand-parents.